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Leaders Exilés et emprisonnés : « Pas de Marche Arrière sur les Affaires Judiciaires », déclare le Premier ministre Bah Oury

Le jeudi 5 septembre, à l'occasion du troisième anniversaire du CNRD, le Premier ministre guinéen Amadou Oury Bah a abordé plusieurs questions sensibles, dont la situation des leaders politiques exilés et emprisonnés, sur le plateau de la RTG. Dès le début de son discours, le Premier ministre a souligné que chacun est soumis à la justice, avant d'ajouter: « C’était difficile. Ceux qui ont vécu l’exil savent que ce n’est pas une partie de plaisir. Au contraire, c’est comme mourir à moitié. Mais nous sommes tous justiciables. Certains faits sont liés à des activités politiques, d’autres concernent la gestion du patrimoine national et l’obligation de rendre compte. Si on n’a rien à se reprocher, on peut être tranquille. Le processus est en marche. »

Le jeudi 5 septembre, à l’occasion du troisième anniversaire du CNRD, le Premier ministre guinéen Amadou Oury Bah a abordé plusieurs questions sensibles, dont la situation des leaders politiques exilés et emprisonnés, sur le plateau de la RTG. Dès le début de son discours, le Premier ministre a souligné que chacun est soumis à la justice, avant d’ajouter:

« C’était difficile. Ceux qui ont vécu l’exil savent que ce n’est pas une partie de plaisir. Au contraire, c’est comme mourir à moitié. Mais nous sommes tous justiciables. Certains faits sont liés à des activités politiques, d’autres concernent la gestion du patrimoine national et l’obligation de rendre compte. Si on n’a rien à se reprocher, on peut être tranquille. Le processus est en marche. »

En poursuivant son allocution, Bah Oury a précisé que les autorités de la transition ne s’immisceront pas dans les affaires judiciaires.

« Les autorités de la transition ne peuvent pas faire marche arrière, d’autant plus qu’elles ne l’ont pas fait pour des jugements liés à des crimes de sang, dont les risques sécuritaires étaient de loin supérieurs aux nuisances que certains acteurs politiques soulèvent pour échapper à leur responsabilité individuelle en se cachant derrière leurs institutions politiques. Vous souhaitez que l’on oublie ceux qui sont en prison en considérant qu’ils sont moins importants que ceux qui sont à l’étranger ? Les institutions politiques dont se prévalent ces responsables ont libre cours dans ce pays. Elles sont invitées à toutes les rencontres », a-t-il affirmé.

Il est important de rappeler que la libération des détenus et la non-poursuite des exilés figurent parmi les principales revendications des forces vives de Guinée.

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