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Françafrique : Les Confessions Choc de Robert Bourgi – Décryptage et Réveil Panafricain

Dans son ouvrage explosif "Ils savent que je sais tout", Robert Bourgi lève le voile sur les dessous du réseau Françafrique. Ce système, longtemps caché, a maintenu l'Afrique francophone sous une tutelle néocoloniale. L'heure est venue de s'en libérer.

Analyse choc de "Ils savent que je sais tout" de Robert Bourgi, un ouvrage qui dévoile les dessous de la Françafrique. Comment les financements occultes et les alliances entre dirigeants africains et français ont retardé l'émancipation du continent. Réagissez sur Farafinet.info.

 

Robert Bourgi, avocat franco-libanais et acteur central de la Françafrique, dévoile dans son livre « Ils savent que je sais tout » les rouages complexes d’un système qui a façonné les relations entre la France et ses anciennes colonies africaines pendant des décennies. Ces révélations offrent un regard sans précédent sur la manière dont l’influence française a perduré en Afrique, au détriment des aspirations des peuples africains à une véritable indépendance. Cet article vous propose un décryptage profond des implications de cet ouvrage et lance un appel à la mobilisation des activistes panafricains.

1. La Françafrique : Héritage colonial ou mainmise moderne ?

Dans le chapitre 3, intitulé « Les Réseaux de l’Ombre », Bourgi explique comment Jacques Foccart, son mentor, a façonné la relation entre la France et l’Afrique :

« Foccart m’a appris que pour contrôler l’Afrique, il fallait contrôler ses dirigeants. Il avait toujours une porte ouverte chez les présidents africains, et j’ai hérité de cette relation privilégiée. »

(p. 47, chapitre 3).

Cette citation illustre parfaitement le rôle central de Foccart dans la construction de la Françafrique et la manière dont ce réseau s’est perpétué à travers des hommes comme Robert Bourgi. Ce système, bien que discret, a permis à la France de continuer à influencer les décisions politiques et économiques en Afrique bien après les indépendances officielles.

Et aujourd’hui ? Il est temps de poser la question : est-ce que les nouvelles élites africaines continuent de perpétuer ce système sous d’autres formes ? Ce modèle colonial déguisé a-t-il vraiment pris fin, ou est-il simplement habillé de nouveaux habits diplomatiques ?

2. Financements occultes : un pillage des ressources africaines

Dans le chapitre 5, intitulé « Les Valises de l’ombre », Bourgi dévoile comment des fonds massifs provenant des chefs d’État africains finançaient les campagnes électorales françaises, notamment celles de Jacques Chirac :

« Les valises de billets ne s’arrêtaient jamais. Omar Bongo envoyait des millions pour financer les campagnes présidentielles en France. C’était un secret de Polichinelle, mais personne n’osait le dénoncer. »

(p. 103, chapitre 5).

Cette révélation montre que les ressources africaines, souvent issues de la corruption et de l’exploitation de matières premières, étaient utilisées pour maintenir en place l’establishment politique français, au détriment des peuples africains.

Pour les activistes africains, cette question est fondamentale : comment les ressources de nos pays peuvent-elles être détournées ainsi, au détriment de nos populations ? N’est-il pas temps de revendiquer un contrôle total sur nos ressources et de cesser ces financements secrets qui nuisent à l’avenir de l’Afrique ?

3. Chefs d’État africains : Acteurs ou victimes de la Françafrique ?

Dans le chapitre 7, intitulé « Mobutu et la France », Bourgi brosse un portrait complexe de Mobutu Sese Seko, révélant comment le chef de l’État congolais jouait un double jeu :

« Mobutu était à la fois un homme de pouvoir et un homme manipulé. Il savait que son trône dépendait du soutien français. Mais il jouait son propre jeu, usant de la Françafrique pour ses propres intérêts. »

(p. 145, chapitre 7).

Ce passage montre comment certains dirigeants africains, bien que bénéficiaires du soutien français, n’étaient pas simplement des marionnettes. Ils utilisaient la Françafrique comme un outil pour consolider leur propre pouvoir, tout en renforçant des régimes autoritaires et corrompus.

Mais cela soulève une question plus profonde pour les défenseurs de l’Afrique : Sommes-nous prêts à continuer d’accepter que des dirigeants africains sacrifient le bien-être de leur peuple pour s’accrocher au pouvoir avec l’aide d’anciens colonisateurs ?

4. Un système en déclin, mais encore influent

Dans le dernier chapitre de son livre, Bourgi observe que bien que la Françafrique soit en déclin, elle n’a pas complètement disparu. De nouvelles puissances mondiales cherchent à prendre la place de la France, notamment la Chine et la Russie :

« La Françafrique n’est peut-être plus aussi visible qu’avant, mais elle est toujours là. La Russie, la Chine, et d’autres sont prêts à prendre la relève, souvent en suivant les mêmes méthodes que la France. »

(p. 210, chapitre 10).

Cette citation souligne que le combat pour l’indépendance totale de l’Afrique est loin d’être terminé. Aujourd’hui, les anciens réseaux d’influence sont simplement remplacés par de nouveaux partenaires économiques, qui reproduisent parfois les mêmes schémas d’exploitation.

Pour les activistes panafricains : Allons-nous rester passifs et permettre à d’autres puissances d’imposer leur influence en Afrique ?

5. Réveil des consciences et mobilisation panafricaine

Le livre de Bourgi est une véritable incitation à l’action pour les jeunes Africains et les activistes panafricanistes. Dans le chapitre 9, Bourgi met en garde contre l’inertie qui pourrait condamner l’Afrique à rester sous le joug de puissances extérieures :

« Si l’Afrique ne prend pas son destin en main, elle sera condamnée à dépendre éternellement de ceux qui, jadis, l’ont exploitée. »

(p. 185, chapitre 9).

Cette citation constitue un appel fort pour la génération actuelle. La nouvelle génération africaine doit se lever et refuser de revivre les erreurs du passé.

Il est temps d’agir pour libérer l’Afrique des vestiges de la Françafrique et de tout autre système néocolonial.

Conclusion : Un moment historique pour l’émancipation africaine

L’ouvrage « Ils savent que je sais tout » de Robert Bourgi jette une lumière crue sur la Françafrique et ses dérives. Il montre combien il est crucial, pour les Africains, de ne plus être spectateurs mais acteurs de leur propre histoire. L’Afrique doit se libérer de toute forme de dépendance, qu’elle vienne de l’ancienne métropole ou de nouveaux partenaires internationaux.

Africains, mobilisez-vous ! Le temps est venu de rompre définitivement avec les reliques de la Françafrique et d’écrire notre propre futur, pour nos enfants et les générations à venir.

 

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Signé : Boub’s SiDiBÉ, PhotoJournaliste
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